Mais quand l'homme accable, qu'un long ennui desole, Ne voit ni les humains, ni rien qui le console, Sa double solitude epouvante son coeur.
Abbé Jacques DelilleMais quand l'homme accable, qu'un long ennui desole, Ne voit ni les humains, ni rien qui le console, Sa double solitude epouvante son coeur.
Abbé Jacques Delille