Adieu donc, o mer. Mais je n'oublierai - Jamais ta majeste ni tes spendeurs, - Et longtemps, longtemps en moi j'entendrai - Ton lourd bruissement aux heures du soir.
Aleksandr Sergueïevitch PouchkineAdieu donc, o mer. Mais je n'oublierai - Jamais ta majeste ni tes spendeurs, - Et longtemps, longtemps en moi j'entendrai - Ton lourd bruissement aux heures du soir.
Aleksandr Sergueïevitch Pouchkine