Un soir, j'interrogeais dans le zinc d'un bistrot Mon visage lasse de me masquer sans cesse. Et Socrate m'a dit, de sa voix de sagesse : «O mon fils, connais-toi toi-meme, mais pas trop.»
Alexandre ArnouxUn soir, j'interrogeais dans le zinc d'un bistrot Mon visage lasse de me masquer sans cesse. Et Socrate m'a dit, de sa voix de sagesse : «O mon fils, connais-toi toi-meme, mais pas trop.»
Alexandre Arnoux