La matiere premiere du romancier ne colle pas aux molaires. Elle flotte autour de lui. Ce sont des larmes, ce sont des lignes. Celles, presque invisibles, d'un canard de province. Celles, trop imposantes, des colonnes nationales.
Arthur DreyfusLa matiere premiere du romancier ne colle pas aux molaires. Elle flotte autour de lui. Ce sont des larmes, ce sont des lignes. Celles, presque invisibles, d'un canard de province. Celles, trop imposantes, des colonnes nationales.
Arthur Dreyfus