La distorsion croissante entre la precarisation de la France d'en bas (celle du metro, justement) et les mythes de l'abondance etales sur les affiches rend de moins en moins supportable le devergondage publicitaire.
Bruno Hongre, dit François BruneLa distorsion croissante entre la precarisation de la France d'en bas (celle du metro, justement) et les mythes de l'abondance etales sur les affiches rend de moins en moins supportable le devergondage publicitaire.
Bruno Hongre, dit François Brune