Que les corbeaux, trouant mon ventre de leurs becs, Mangent mon foie, ou sont tant de coleres folles, Que l'air et le soleil blanchissent mes os secs, Et, surtout, que le vent emporte mes paroles!
Charles CrosQue les corbeaux, trouant mon ventre de leurs becs, Mangent mon foie, ou sont tant de coleres folles, Que l'air et le soleil blanchissent mes os secs, Et, surtout, que le vent emporte mes paroles!
Charles Cros