Laissant pendre sa flute au bout de son bras nu,L'aigipan, renverse sur le rameau qui ploie,Reve, les yeux mi-clos, avec un air de joie,Qu'il surprend l'oreade en son antre inconnu.
Charles Marie René Leconte de LisleLaissant pendre sa flute au bout de son bras nu,L'aigipan, renverse sur le rameau qui ploie,Reve, les yeux mi-clos, avec un air de joie,Qu'il surprend l'oreade en son antre inconnu.
Charles Marie René Leconte de Lisle