Quand on noie son chagrin au bistrot, on ne doit plus appeler cet etablissement un debit de boissons mais plutot un depit de boissons.
Damien CaillaudQuand on noie son chagrin au bistrot, on ne doit plus appeler cet etablissement un debit de boissons mais plutot un depit de boissons.
Damien Caillaud