Pour l'homme, il convient de faire plus grand cas de l'ame que du corps. Car l'excellence de l'ame corrige la faiblesse du corps, mais la force corporelle, sans la raison, est absolument incapable d'ameliorer l'ame.
DémocritePour l'homme, il convient de faire plus grand cas de l'ame que du corps. Car l'excellence de l'ame corrige la faiblesse du corps, mais la force corporelle, sans la raison, est absolument incapable d'ameliorer l'ame.
Démocrite