On ne se mefie jamais assez des contre-emplois qu'on croit jouer: ils deviennent un jour notre seconde nature, et la premiere n'existe plus.
Didier Van CauwelaertOn ne se mefie jamais assez des contre-emplois qu'on croit jouer: ils deviennent un jour notre seconde nature, et la premiere n'existe plus.
Didier Van Cauwelaert