Mais nulle d'entre vous ne hante plus ces rives, Et si je viens errer sous leurs aulnes tremblants, C'est pour n'y rencontrer que cette ombre furtive Qui me ressemblerait, n'etaient mes cheveux blancs.
Emile HenriotMais nulle d'entre vous ne hante plus ces rives, Et si je viens errer sous leurs aulnes tremblants, C'est pour n'y rencontrer que cette ombre furtive Qui me ressemblerait, n'etaient mes cheveux blancs.
Emile Henriot