Je reve une existence en un cloitre de fer, - Brulee au jeune et seche et rapee aux cilices, - Ou l'on abolirait, en de muets supplices, - Par seule ardeur de l'ame, enfin, toute la chair.
Emile VerhaerenJe reve une existence en un cloitre de fer, - Brulee au jeune et seche et rapee aux cilices, - Ou l'on abolirait, en de muets supplices, - Par seule ardeur de l'ame, enfin, toute la chair.
Emile Verhaeren