J'etais la quand on fauchait, la quand on relevait les fourrages, et je me laissais emmener par les chariots qui revenaient avec leur immense charge.
Eugène FromentinJ'etais la quand on fauchait, la quand on relevait les fourrages, et je me laissais emmener par les chariots qui revenaient avec leur immense charge.
Eugène Fromentin