Quand ils prenaient leur vol pour aller s'ecraser sur leur objectif, les pilotes-suicide japonais n'oubliaient jamais d'emporter leur mascotte porte-bonheur.
François CavannaQuand ils prenaient leur vol pour aller s'ecraser sur leur objectif, les pilotes-suicide japonais n'oubliaient jamais d'emporter leur mascotte porte-bonheur.
François Cavanna