Il esperait que les plantes, les mousses enlaceraient ses jambes, qu'il ne pourrait se depetrer de cette eau bourbeuse et qu'enfin sa bouche, ses yeux seraient combles de vase, que nul ne le verrait plus, et qu'il ne verrait plus les autres le voir.
François MauriacA propos de l'auteur
- Profession d'auteur: Écrivain
- Née: 11 octobre 1885
- Mort: 1 septembre 1970