Chaque fois qu'il citait un nom, il le biffait violemment d'un trait de crayon qui s'abattait sur le papier comme un couperet sur une nuque.
Georges Moinaux, dit Georges CourtelineChaque fois qu'il citait un nom, il le biffait violemment d'un trait de crayon qui s'abattait sur le papier comme un couperet sur une nuque.
Georges Moinaux, dit Georges Courteline