Vivre comme en exil, vivre sans voir personne Dans l'immense abandon d'une ville qui meurt, Ou jamais on n'entend que la vague rumeur D'un orgue qui sanglote ou du Beffroi qui sonne.
Georges RodenbachVivre comme en exil, vivre sans voir personne Dans l'immense abandon d'une ville qui meurt, Ou jamais on n'entend que la vague rumeur D'un orgue qui sanglote ou du Beffroi qui sonne.
Georges Rodenbach