C'etait Bruges-la-Morte, elle-meme mise au tombeau de ses quais de pierre, avec les arteres froidies de ses canaux, quand avait cesse d'y battre la grande pulsation de la mer.
Georges RodenbachC'etait Bruges-la-Morte, elle-meme mise au tombeau de ses quais de pierre, avec les arteres froidies de ses canaux, quand avait cesse d'y battre la grande pulsation de la mer.
Georges Rodenbach