Deja je n'avais pas vu poser sans malaise ces lignes electriques, ces conduites forcees qui blessent les pentes d'un trait artificiel et rigide.
Georges Soulès, dit Raymond AbellioDeja je n'avais pas vu poser sans malaise ces lignes electriques, ces conduites forcees qui blessent les pentes d'un trait artificiel et rigide.
Georges Soulès, dit Raymond Abellio