Punis-moi de mon orgueil atroce, lui disait-elle, en le serrant dans ses bras de facon a l'etouffer; tu es mon maitre, je suis ton esclave, il faut que je te demande pardon a genoux d'avoir voulu me revolter.
Henri Beyle, dit StendhalPunis-moi de mon orgueil atroce, lui disait-elle, en le serrant dans ses bras de facon a l'etouffer; tu es mon maitre, je suis ton esclave, il faut que je te demande pardon a genoux d'avoir voulu me revolter.
Henri Beyle, dit Stendhal