Plus vous emprisonnez l'art dans les cloisons du quotidien, et plus le quotidien cesse d'etre de l'art. Au soir venu: des ombres, des ames mortes, le sepulcre.
Jacques PhytilisPlus vous emprisonnez l'art dans les cloisons du quotidien, et plus le quotidien cesse d'etre de l'art. Au soir venu: des ombres, des ames mortes, le sepulcre.
Jacques Phytilis