Sans bouger la tete, du plein de son oeil devire, le prisonnier regarda Jolivet et, dans le pauvre regard, ... tout se vit soudain.
Jean GionoSans bouger la tete, du plein de son oeil devire, le prisonnier regarda Jolivet et, dans le pauvre regard, ... tout se vit soudain.
Jean Giono