Cette louange (du courage, en Louis XIV, vieux et malheureux) eut du moins le merite que n'avaient pas eu tant d'autres; elle appartenait en propre au monarque, et n'etait ni basse, ni exageree.
Jean le Rond d' AlembertCette louange (du courage, en Louis XIV, vieux et malheureux) eut du moins le merite que n'avaient pas eu tant d'autres; elle appartenait en propre au monarque, et n'etait ni basse, ni exageree.
Jean le Rond d' Alembert