Pourvu que nos riches oisifs aillent tous les jours pendant trois heures se soulager, au theatre, du poids du temps qui les accable, peu leur importe qu'on s'amuse ailleurs.
Jean le Rond d' AlembertPourvu que nos riches oisifs aillent tous les jours pendant trois heures se soulager, au theatre, du poids du temps qui les accable, peu leur importe qu'on s'amuse ailleurs.
Jean le Rond d' Alembert