Boileau, Voltaire ou La Harpe jugeaient d'un poeme qu'il etait aimable ou deplaisant, qu'il flattait ou froissait le gout, les regles, la nature.
Jean PaulhanBoileau, Voltaire ou La Harpe jugeaient d'un poeme qu'il etait aimable ou deplaisant, qu'il flattait ou froissait le gout, les regles, la nature.
Jean Paulhan