Retenir ses larmes, voila bien, selon moi, le comble du «charnel»; car lorsqu'on refuse a son coeur de s'epancher, le chagrin ne s'ancre-t-il pas en nous, pesant comme un fardeau?
Jostein GaarderRetenir ses larmes, voila bien, selon moi, le comble du «charnel»; car lorsqu'on refuse a son coeur de s'epancher, le chagrin ne s'ancre-t-il pas en nous, pesant comme un fardeau?
Jostein Gaarder