De peindre ainsi les nonnes, puis de railler si doucement leurs menus travers, gourmandise, bavardage, mievreries et langueurs, ce fut, pour le jesuite, une facon detournee de s'occuper des femmes sans offenser le ciel.
Jules LemaîtreDe peindre ainsi les nonnes, puis de railler si doucement leurs menus travers, gourmandise, bavardage, mievreries et langueurs, ce fut, pour le jesuite, une facon detournee de s'occuper des femmes sans offenser le ciel.
Jules Lemaître