Il trouva la Seine etroite comme un canal, la Sorbonne triste comme une prison, les avenues tracees sans souci de la geometrie et les Parisiens insolents et bousculeurs.
Maurice DenuzièreIl trouva la Seine etroite comme un canal, la Sorbonne triste comme une prison, les avenues tracees sans souci de la geometrie et les Parisiens insolents et bousculeurs.
Maurice Denuzière