A elle qui gagnait sa vie en tapant a la machine toute la journee, sa joie etait de se changer, la nuit, en clavier que son amant manipulait.
Michel LeirisA elle qui gagnait sa vie en tapant a la machine toute la journee, sa joie etait de se changer, la nuit, en clavier que son amant manipulait.
Michel Leiris