Mais un attentat reste un attentat. A l'usure, on peut le gerer techniquement mais pas humainement. L'emoi et l'effroi ne font pas bon menage avec le sang-froid. Lorsque l'horreur frappe, c'est toujours le coeur qu'elle vise en premier.
Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra