Si je deviens centenaire, je me leverai chaque matin pour lire les faire-part necrologiques des journaux, si mon nom n'y est pas, je retournerai me coucher.
Paul LéautaudSi je deviens centenaire, je me leverai chaque matin pour lire les faire-part necrologiques des journaux, si mon nom n'y est pas, je retournerai me coucher.
Paul Léautaud