Penche contre un grand fleuve, infiniment mes rames M'arrachent a regret aux riants environs; Ame aux pesantes mains, pleines des avirons, Il faut que le ciel cede au glas des lentes lames.
Paul ValéryPenche contre un grand fleuve, infiniment mes rames M'arrachent a regret aux riants environs; Ame aux pesantes mains, pleines des avirons, Il faut que le ciel cede au glas des lentes lames.
Paul Valéry