En d'autres temps, on les appelait parasites ou facheux. Aujourd'hui, on les baptise ventilateurs parce qu'ils croient produire le vent de la mode alors qu'ils ne brassent que les flatulences de leur mediocrite.
Philippe BouvardEn d'autres temps, on les appelait parasites ou facheux. Aujourd'hui, on les baptise ventilateurs parce qu'ils croient produire le vent de la mode alors qu'ils ne brassent que les flatulences de leur mediocrite.
Philippe Bouvard