J'ai d'autant plus horreur de travailler pour rien que, ce faisant, je prive les confreres pratiquant le benevolat d'un des plaisirs les plus purs qui soient.
Philippe BouvardJ'ai d'autant plus horreur de travailler pour rien que, ce faisant, je prive les confreres pratiquant le benevolat d'un des plaisirs les plus purs qui soient.
Philippe Bouvard