J'aime la melancolie de ce passant. Il n'a plus aucune de ces pretentions du paraitre qui nous amenuisent tant dans la vraie vie, nous contraignent a cacher nos blessures, nos tristesses.
Philippe DelermJ'aime la melancolie de ce passant. Il n'a plus aucune de ces pretentions du paraitre qui nous amenuisent tant dans la vraie vie, nous contraignent a cacher nos blessures, nos tristesses.
Philippe Delerm