Quand on regarde longuement un mort, on finit toujours par discerner d'imperceptibles mouvements sur son visage. Cette illusion doit tenir au fait que nous n'arrivons pas a nous resigner a son irremediable immobilite.
Robert MerleA propos de l'auteur
- Profession d'auteur: Écrivain
- Née: 28 août 1908
- Mort: 27 mars 2004