A l'affame appartient le pain que tu gardes. A l'homme nu, le manteau que recelent tes coffres. Au va-nu-pieds la chaussure qui pourrit chez toi. Au misereux, l'argent que tu tiens enfoui.
Saint BasileA l'affame appartient le pain que tu gardes. A l'homme nu, le manteau que recelent tes coffres. Au va-nu-pieds la chaussure qui pourrit chez toi. Au misereux, l'argent que tu tiens enfoui.
Saint Basile