Applique a mes flancs, il devore ma chair jusqu'a l'os, il impregne et ronge les arteres de mes poumons. Il a deja bu tout mon sang frais, et je sens mon corps qui s'effondre vaincu par la mysterieuse etreinte.
SophocleApplique a mes flancs, il devore ma chair jusqu'a l'os, il impregne et ronge les arteres de mes poumons. Il a deja bu tout mon sang frais, et je sens mon corps qui s'effondre vaincu par la mysterieuse etreinte.
Sophocle