Courtisans, qui jetez vos dedaigneuses vues - Sur ce chien delaisse, mort de faim par les rues, - Attendez ce loyer de la fidelite.
Théodore Agrippa d' AubignéCourtisans, qui jetez vos dedaigneuses vues - Sur ce chien delaisse, mort de faim par les rues, - Attendez ce loyer de la fidelite.
Théodore Agrippa d' Aubigné