Parfois notre grand-mere, - La veuve aux chers soucis, - Qui fut si belle et qui mourut si jeune, - Se montrait sur le seuil, - Le front pali comme par un long jeune, - Triste et douce, en grand deuil.
Théodore de BanvilleParfois notre grand-mere, - La veuve aux chers soucis, - Qui fut si belle et qui mourut si jeune, - Se montrait sur le seuil, - Le front pali comme par un long jeune, - Triste et douce, en grand deuil.
Théodore de Banville